Résumé
Mon engagement en orthodontie est clair : soigner avec honnêteté et rigueur médicale. Je distingue toujours les problèmes squelettiques, musculaires ou dentaires, j’évalue le rapport bénéfices/risques, j’annonce les effets secondaires et la stabilité attendue, et parfois je choisis de ne pas traiter si cela est nocif ou instable.
✔️ Mes objectifs
- J’améliore l’esthétique du sourire tout en évitant d’altérer le système dentaire.
- J’évalue toujours le rapport bénéfices/risques de chaque traitement.
- J’annonce clairement si un traitement est indispensable, utile ou inutile, et s’il a une vocation fonctionnelle ou simplement esthétique.
- J’explique dès le départ les effets secondaires potentiels.
- J’anticipe la stabilité des résultats et le risque de récidive.
- J’indique si une contention définitive sera nécessaire.
✔️ Mon diagnostic
Un vrai diagnostic ne se limite pas aux dents.
- Je dépiste les problèmes fonctionnels qui peuvent affecter la santé globale (respiration, mastication, déglutition, posture de la langue…).
- Je recherche l’origine précise du problème orthodontique ayant motivé la consultation : s’agit-il d’un problème squelettique, musculaire ou purement dentaire ?
- J’établis un pronostic clair, en précisant la gravité et la difficulté du cas.
- Je choisis le bon âge pour traiter, selon l’origine de l’anomalie.
✔️ Mes traitements
- Je réduis le temps de traitement en visant directement la cause réelle du problème.
- Je dispose d’une panoplie de techniques pour adapter le traitement à chaque situation.
- Je surveille de près l’efficacité et l’évolution.
- J’évite autant que possible les extractions dentaires.
- Je recherche et corrige les effets secondaires éventuels en cours de traitement.
- Je refuse les compromis instables, qui conduisent tôt ou tard à l’échec.
✔️ Enfin, parfois… je choisis de ne pas traiter
Un traitement n’est pas toujours la meilleure solution.
Lorsqu’il est évident que l’alignement obtenu serait instable, artificiel ou nocif, je préfère ne pas intervenir.
💡 Ma pratique repose sur une conviction simple :
l’orthodontie n’a de valeur que si elle respecte la santé globale du patient et reste stable dans le temps.